Aménagement des Ouvrages d’Art sur le Trieux – Guingamp (22)
Mission de Maîtrise d’oeuvre en collaboration avec le BE Forces & Appuis (2017-2018)





Mission de Maîtrise d’oeuvre en collaboration avec le BE Forces & Appuis (2017-2018)
Etude d’aménagement des Quais du Port du Rosmeur (2017-2019)
En collaboration avec ELAND Paysagiste mantaire
FDevernay Monuments Historiques, Réhabilitation
Mission de maîtrise d’oeuvre complète
Etude d’aménagement urbain et paysager de la place du centre
Maître d’Ouvrage :
Mairie
Place du Château
56 160 Guémené-sur-Scorff
Mission :
Maîtrise d’œuvre complète pour la conception et le suivi d’un projet de Revitalisation du centre-ville
Partenaires Associés :
Libéra BERTHELOT – Conseil en développement territorial
Olivier FOUQUERE – Société Emprixia
Extraits du Diagnostic :
Ville de Guingamp
Hôtel de Ville
1 Place du Champ au Roy
BP 50 543
22 205 GUINGAMP
Aménagement d’un parcours sportif sur le site du Pont-Ezer aux abords du Trieux, situé sur la commune de Guingamp dans les Côtes d’Armor (22)
Il comprend l’aménagement d’une partie du parc avec la réalisation de cheminements piétons et de placettes et l’aménagement d’un parcours sportif en structure métallique spécifiquement conçu pour ce projet.
FDevernay Monuments Historiques
Commune de Combrit-Sainte-Marine
8 rue du Général De Gaulle
29120 Combrit Sainte-Marine
Mission de Diagnostic Patrimonial avant restauration de la Chapelle
Stéphane Saltzmann du Bureau d’Etudes Structure Bois Konstruktif
« Construction de la chapelle au XVIème siècle
Elle se composait primitivement d’un chœur à deux travées, avec bas-côtés et d’une nef étroite et basse. Un arc brisé central devait porter le clocher, renforcé par les arcs, très élancés, des bas-côtés. Les piliers reçoivent les retombées des arcades sur des corbeaux (pièces de bois en saillie des murs).
Comme l’église paroissiale et les autres chapelles, celle-ci a du perdre son clocher en 1675 sur décision du Duc de Chaulnes après que le propriétaire du Cosquer, Nicolas Euzeniou ait été pendu à une fenêtre de son manoir lors de la révolte du papier timbré (Abgrall). Elle fut vendue à la Révolution comme bien national à un dénommé Le Bour et associés.
Rendue au culte, elle fut partiellement détruite en 1824 par un cierge allumé près de la statue de la Vierge. Elle perdit alors sa voûte aux lambris peints, et en 1856 le recteur Jean-Louis Tilly n’y reconnaissait plus qu’une Annonciation.
Lors de la reconstruction, en 1904, la nef qui tombait en ruine fut refaite et agrandie de manière à offrir toute la largeur du chœur et de ses collatéraux, mais en gardant le portail gothique (style néo-flamboyant) et le clocher. Les fenêtres sont de style flamboyant.
La transformation s’est arrêtée à l’arc diaphragme derrière lequel s’ouvre le chœur. Les seules parties anciennes préservées sont le chœur et les deux transepts.
On remarquera la différence de construction : la partie ancienne est en moellons réguliers, la nouvelle partie en pierre de taille. La sacristie possède des ouvertures du XVIIIème siècle. »
FDevernay Monuments Historiques
Commune de Guémené-sur-Scorff
Mission de Maîtrise d’œuvre complète pour la restauration de la maison Limbour
Optimisation du programme pour accueillir une maison de services au public et un espace muséal
Le 14 rue Pérès, est attesté comme étant une maison à porche, composée en façade sur rue d’un porche en bois sur piliers en pierre. Le but principal de l’établissement de cette forme architecturale, est la fonction commerciale qui en résulte, notamment en lien avec son emplacement dans la cité, à proximité directe des activités commerciales et économiques. Ainsi les porches permettent de commercer à couvert, la boutique étant située en rez-de-chaussée, sur rue, typologie que l’on retrouve régulièrement en Bretagne (…)
Le 14, rue Pérès présente un plan type du XVe siècle. Selon la typologie, le plan de la maison en pans de bois en Bretagne, n’évolue dans sa généralité que vers le milieu du siècle suivant.
Ainsi le modèle à deux pièces en rez-de-chaussée (une sur rue, l’autre sur cour au 14, rue Pérès) est un élément qui se rencontre sur les habitats dont les commanditaires sont les plus fortunés.
Pour ceux plus modestes, une seule pièce est présente sur toute la surface du bâtiment. Le plan le plus usuel à deux pièces, est composé d’un mur refend qui les sépare.
Celui-ci est dans une majorité maçonné, prolongé par un escalier en vis.
Dans le cas de la maison du 14 rue Pérès, la cloison originelle séparant le rez-de-chaussée en deux pièces, est en bois. Cela confirme la typologie de deux pièces dès l’origine (déjà mentionné pour le rez-de-chaussée en 1633), et encore valable aujourd’hui. Il n’y a pas de présence de structure maçonnée, qui constituerait le mur refend, élément caractéristique de cette typologie, absente dans notre cas. A noter, la façade, que nous pouvons observer aujourd’hui, a été remaniée au cours du XIX° siècle, donnée visible sur le cadastre napoléonien de 1842. »